Lutte contre la désinformation et la mésinformation (LDM)

L'objectif de ce guide est de faciliter la diffusion de la documentation produite par le groupe de travail "Lutte contre la désinformation et la mésinformation" (LDM) du Partenariat des bibliothèques universitaires du Québec (PBUQ).

Créé en 2024, le Groupe de travail de lutte contre la désinformation et la mésinformation (GT-LDM) a pour mandat d'explorer et de promouvoir des stratégies novatrices visant à renforcer la pensée critique et à lutter contre la désinformation et la mésinformation au sein des communautés universitaires.
Le groupe vise à faire en sorte que ses actions contribuent à conforter le rôle des universités, plus précisément celui du personnel des bibliothèques, en tant qu’acteurs-clés face à ces enjeux, encore plus cruciaux en regard du développement de l’intelligence artificielle, des hypertrucages et de l’instantanéité de la diffusion via les médias sociaux.

Co-présidence: 

• Marjorie Gauchier (UdeM), bibliothécaire responsable du soutien au droit d'auteur)
• Mathieu Pigeon (UdeM), bibliothécaire dans l’équipe Recherche et communication savante, Direction de la recherche et des initiatives numériques

Membres

• Catherine Forget (ÉTS) 
• Amy Bergeron (UdeM)
• Karine Lamontagne (ENAP) - Liaison PBUQ
• Catherine Lamy (UL)
• Isabelle Lorrain (UdS)
• Sonya Morales (UL)
• Mathieu Pigeon (UdeM)
• [Nom à confirmer] (UL)
• Mylène Pinard (McGill)

Pistes d’actions 

En s'appuyant sur la mutualisation de l'expertise académique et les ressources des bibliothèques universitaires, les initiatives du Groupe de travail pourraient être associées aux grandes actions suivantes :  

Analyse  

• S’assurer que les membres du Groupe de travail dispose d’une compréhension commune en effectuant une revue de la littérature sur la désinformation, les biais cognitifs sous-jacents et la pensée critique. 

• Analyser les mécanismes de propagation des fausses nouvelles et leurs impacts spécifiques sur les communautés universitaires. 

• Sonder les communautés universitaires pour évaluer leur niveau de sensibilisation à la désinformation et leur capacité à identifier et critiquer les fausses nouvelles. 

Formation et sensibilisation 

• Créer des formations et des outils pédagogiques pour soutenir les communautés universitaires dans le développement de la pensée critique. 

• Organiser des ateliers de formation continue axés sur l’enseignement de la pensée critique pour le personnel des bibliothèques. 

• Proposer des activités de communication pour la sensibilisation de la communauté universitaire. 

Collaboration et partage  

• Créer une communauté de pratique de bibliothécaires, d’enseignantes et d’enseignants ainsi que de professionnelles et professionnels de l'information pour partager des bonnes pratiques et des expériences sur la lutte à la désinformation